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L'école de danse de Québec

Entrevue exclusive avec Parts+Labour_Danse sur De menaces et mirages, leur création originale pour la cohorte de 2e année | SFS FS 2024

6 mai 2024

« Des fois, il faut vivre avec le feu, le chaos, la vie... » Entrevue avec David Albert-Toth et Emily Gualtieri, chorégraphes et co-directeur·trices artistiques de la Cie Parts+Labour_Danse, qui signent la création originale De menaces et mirages pour la cohorte de 2 année en vue du Spectacle de fin de saison 2024 de la Formation supérieure (SFS FS) de L’EDQ.

Les chorégraphes et directeur·trices artistiques David Albert-Toth et Emily Gualtieri forment le duo incomparable derrière la compagnie de danse montréalaise Parts+Labour_Danse. Invité·es à créer une pièce originale pour la cohorte de 2e année à la Formation supérieure en danse contemporaine dans le cadre du Spectacle de fin de saison 2024, l’École a profité de leur passage en studio pour en apprendre plus sur leur dynamique de création, leurs inspirations artistiques ainsi que les intentions qui guident leur travail auprès des étudiant·es. À votre tour maintenant de découvrir un avant-goût de ce qui vous attend dans De menaces et mirages en lisant l’entrevue que ces chorégraphes d’exception ont généreusement accordée à l’École! Ça vous interpelle? Leur création originale sera présentée au public les 9 et 10 mai prochains!

  • Comment est-ce que la danse est arrivée dans votre vie? 

David : Pour moi, c’était par accident : j'ai découvert la danse à travers un défilé de mode à l'école secondaire quand j’avais 16 ou 17 ans. [...] J'étais déjà attiré par l’idée de DJing, donc, il y avait déjà en moi le goût de l'artistique, de la performance, mais rien d'ancré dans le corps encore. Cette performance-là m'a ouvert un peu sur le monde du hip-hop et j'ai découvert le break et les racines de la culture rave aussi. [...] J'ai baigné pendant longtemps dans ces cultures-là [à Montréal], mais il y avait quelque chose dans la liberté des raves [...] qui me parlait plus, mais je n'arrivais pas tout à fait à nommer c’était quoi. Ensuite, une amie au Cégep m'a amené voir un show à l'Usine City, à Montréal, d’une compagnie qui avait des danseur·euses B-boy, de house et de contemporains - un style que je ne connaissais pas trop encore -, avec toute une mise en scène. C'était un show assez rempli et [...] ça m'a complètement bouleversé. J'ai compris que c'était ça que je voulais faire : de la création d'œuvres! Donc, à partir de là, je suis allé à Concordia, [et] c'est là où j'ai rencontré Emily.

What's your story, Emily?

Emily : Very different. For me, dance was love at first sight at four and I started dancing right away. At the time in Toronto, where I'm from, they only had ballet and modern - contemporary didn't exist yet. And at that time, it was really understood that if you wanted to be a dancer, you had to go to ballet school. So, I auditioned for the National Ballet School, and I went [there] for a number of years in a professional program, until my body decided to look a certain way that was not en forme for a ballet dancer. At that point, I decided to stop dancing and I pursued acting. So [for a while,] theater, film and television were at the forefront [for me]. Then I went to see a show [of the students of the Concordia Dance Program] in Montréal and [I noticed that] it was all kinds of body types. [I was told that] no professional was allowed to choreograph on the students, it’s them who make their own work twice a year and they get to do that as a show. I was sold immediately.

So I went to Concordia, and that's where I met Dave. And Dave and I did not like each other at all [at first]. I came from a very strict background : ballet, rigor, all that, and Dave came from a very different background.

  • Que souhaitez-vous transmettre aux étudiant·es en premier lieu?

David : Il y a une chose que je vois souvent dans les contextes de danse, que pour moi, il faut apprendre à défaire : c'est la reconnaissance de ce qui se passe réellement et concrètement devant nous et comment ne pas être dans nos attentes et dans nos idéaux. Il n'y a pas de place pour l'idéal en danse. 

[Alors,] ce que j’essaie de transmettre, c’est d'apprendre la technique d’interprète : à quel moment est-ce que je m'aperçois qu’il y a quelque chose qui est différent [dans la chorégraphie] que je peux utiliser ou que je dois éviter. [D’un studio à l’autre,] les planchers sont différents, les espaces sont différents, les sons sont différents. On remplace quelqu'un dans une chorégraphie, [les interprètes] vont approcher la danse autrement. Les gens ne sont pas pareils d’un jour à l’autre, d’une année à l’autre [non plus]; les rapports humains en danse changent et les hiérarchies se construisent et se défont. 

Comment est-ce qu'on peut enlever l’attente de l'idéal et travailler avec le concret pour embrasser le moment présent avec tous ces inconnus? Pour moi, ça, c'est ça, la job d'interprète. C'est un élément que j'essaie vraiment d'aller chercher : cette reconnaissance de soi dans le moment présent.

Emily : I feel mine is similar. I feel like what I really want to cultivate in the students is “Own yourself”. Every school I go to, we teach a language. We teach a form, right? Tendus, pliés, jetés… But it's important that in dance, we own who we are. The capabilities are varied and they do not determine a good or bad interprète. So [you have to learn to] own that, so that you can participate. That's how you integrate into a process, into being a dancer with other dancers. We speak about “le bâton” a lot [during a process] as [a synonym for] being responsible - but you can only be accountable and respond to others if you really own yourself. That's really what I want to imbue. 

David : On travaille beaucoup avec l’idée de passer « le bâton » à l'intérieur d'une chorégraphie ou d'une impro, c’est-à-dire d'être toujours capable de « prendre le bâton » et de dire : « C'est moi qui mène cette idée-là ou c'est moi qui prends le leadership. » Mais en même temps, si quelqu'un d'autre dit : « Il est à moi maintenant », je le cède. Donc, d’être toujours prêt à s'assumer dans son rôle de leadership, mais aussi prêt à assumer d’être en deuxième plan - de ne pas se battre contre quelqu'un qui reprend le bâton et de [plutôt] savoir se dire : « OK, là, c’est leur moment. » 

Des fois, il faut vivre avec le feu, le chaos, la vie... Ce n’est pas toujours clean. Le but, c’est de jouer avec ces registres, tant pour les interprètes que pour le public. Le public devrait sentir que les interprètes sont des gens qui sont autant en manque de contrôle, dans un chaos, qu’en train d’essayer de le maîtriser - mais aussi en train de choisir quand il ne faut pas le maîtriser, quand est-ce que c’est le moment de lâcher prise.

  • Il s’agit de votre troisième création pour L’EDQ. Qu'est-ce qui vous fait accepter de revenir pour créer pour nos étudiants?

Emily : There are a few things. Number one, I love Québec City! I love the community here. I think the Maison pour la danse is amazing. The dancers are amazing. The community of artists who reside in Quebec are incredible! I think in Montreal, there are more [dancers], the scene is bigger, and there's less solidarity in some ways. [Whereas,] every time we come to the school here, we feel like there's a complicity. There's a real welcoming and a real understanding of what we want to bring. We're met with availability every time. We fall in love every time. [So] we deep dive every time. That has never changed. So of course, when Esther [Esther Carré, la directrice de L’EDQ] - and before Lyne Binette [ancienne directrice des études] - would say “Hey, would you like to?” Of course!

David : Lyne a vraiment jeté les bases de la relation qu'on a en ce moment avec l'École. Je pense qu'elle a beaucoup contribué au déploiement et à l'approfondissement de la communauté de Québec qu'on a vu grandir énormément dans les dernières années. Donc, ces bases ont été jetées avec elle et on est très, très heureux que ça continue avec Esther! On revient parce qu’on sent qu'il y a ce feu dans la communauté de Québec, puis l'éthique de faire : « On vous accueille avec disponibilité » , comme disait Emily. On se sent chez nous, très bien accueillis. 

Emily : Ouais, c'est incroyable.

  • Quelle est l'amorce de cette création?

David : Je pense qu'on est dans une passe où avec chaque opportunité de création, on a développé une chorégraphie maximaliste par le passé. Récemment, on cherche à s'éloigner davantage [de ça] et à commencer avec des idées plus minimalistes dans la répétition, où, éventuellement, on trouve de la place pour que cette plus grande chorégraphie puisse s'insérer. On a vu que cette façon de faire est un point de départ intéressant pour les étudiant·es, parce que les jeunes, ça veut danser grand, ça veut danser fort, ça veut danser tout le temps, bang, bang, bang. Mais pour revenir aux choses qu’on veut partager avec eux, c'est-à-dire la conscience de soi, la réalité de soi, il faut creuser un espace mental, une certaine conscience. Et donc, pour partir, ils sont forcés de se soumettre à des contraintes plus minimales et difficiles au début, mais qui deviennent très prometteuses par la suite, en ouvrant des pistes d’interprétation nouvelles pour les étudiants.

Moi, j'ai une manière très pragmatique et détaillée [de travailler] avec les étudiant·es. Emily les embrasse autrement en [leur] offrant une vision globale [de la pièce] et en les encourageant. 

Emily : Parts and Labour!

David : Exactement! Ça fait en sorte qu'on les engage différemment. Moi, je les amène avec moi dans mes petites affaires, puis on construit ça au fur et à mesure comme un mur de briques. Puis Emily dit : « Voici le blueprint, voici ce que j'ai dessiné dans ma tête. J'ai besoin de vous. » Donc, ça fait en sorte qu’à chaque création, on a des points de départ minces et très minimaux, puis tranquillement, ça se construit, ça se remplit, avec les étudiant·es. Et on finit toujours avec quelque chose qui est à la fois à nous et très « à notre image », mais aussi rempli et insufflé de l'inspiration et de l’identité des interprètes. Ce qui nous donne [au final] quelque chose de partagé.

  • Quelle est votre intention derrière cette création? 

David : Moi, je pense que c'est le contrôle du chaos.

Emily : We also want to bring chaos to the organized and to feel that.

David : Yeah, I think there's something about creating a state of chaos and seeing how we define our own chaos and somewhat try to control it - which feels kind of à-propos as well. The last several years, it feels like… On est constamment en train de se faire envoyer du chaos, puis on fait de notre mieux pour se construire une vie avec tant d'inconnus pour créer des relations humaines. 

En même temps, ce que dit Emily est aussi vrai. Donc, [l’intention pour cette création], c’est aussi de venir à la rencontre de nos propres attentes et de nos propres réflexes à créer de l’ordre et de défaire - de challenger - nos tendances à apporter de l’ordre. Des fois, il faut vivre avec le feu, le chaos, la vie... Ce n’est pas toujours clean. Le but, c’est de jouer avec ces registres, tant pour les interprètes que pour le public. Le public devrait sentir que les interprètes sont des gens qui sont autant en manque de contrôle, dans un chaos, qu’en train d’essayer de le maîtriser - mais aussi en train de choisir quand il ne faut pas le maîtriser, quand est-ce que c’est le moment de lâcher prise.

Emily : It's still pretty clean. We could go deeper. We could push more. We're at the beginning. Mais juste deux semaines, c’est très, très rapide. But that's the inspiration, the intention. And hopefully, then you leave it with them and you hope they can go [on from there].

David : C'est toujours un bon rappel [le fait d’avoir peu de temps].. Quand on vient, on a deux semaines, c’est court, mais le travail se rend. On va aussi loin qu'on peut. Comme on va aussi loin qu'on pourrait en trois mois. Est-ce qu'on irait plus loin, je ne sais pas. Mais je pense que c'est rafraîchissant de se mettre sur une mission ensemble. C'est fort comme expérience.

  • Comment est-ce que vos rôles sont répartis dans la création? 

Emily : I think it changes every time. But honestly, Dave is at the front a lot. He speaks the most, he's the most in his body - I haven't practiced as a professional for 15 years, he's still a practicing professional. So he demonstrates a lot of the movement, he's able to transmit a lot of the information. I'm really [rather] like a director.

David : I was just going to say the same thing. 

Emily : I don't say a lot, but I know everything. I know everything. I'm observing everything. I'm like, “We got to bring this down.” or “Ça marche, ça, ça marche pas.” It's not a perfect theory, but I think that's how we work. 

David : Ça crée un va-et-vient. Peu importe comment on se retrouve, il y a toujours deux perspectives sur le travail. C'est ça qui le rend intéressant. On s'entend sur beaucoup de choses, mais on ne s'entend pas sur tout. Et on a toujours deux perspectives différentes et des relations différentes avec nos collaborateur·rices et avec les interprètes. 

Emily : Really like a choreographer and a director.

David : Ce qui laisse non pas moins de place pour l'interprète, mais plus. À chaque processus, [...] on essaie aussi de parler aux étudiant·es de leur part dans le processus créatif et du fait qu'on veut créer un moyen, à chaque fois, de diminuer non pas nos voix, mais le pouvoir de nos voix pour faire place au pouvoir de la voix de l'interprète. On veut rééquilibrer les hiérarchies. C'est une question de responsabilité [pour nous]. Il faut que tout le monde soit prêt à prendre la responsabilité de contribuer. Et c'est de là que vient aussi l'exercice du bâton, dont on a déjà parlé : de se faire confiance, de prendre la parole. Et ça commence à l'école. Ce n'est pas tout le monde qui est bâti de même. Certains sont plus discrets. [Dans ce cas], c’est to uplift them; to teach people.

Vous êtes d'excellents pédagogues.

David : On l'est peut-être pas pour tout le monde, mais ça fait quand même un bout qu’on le fait maintenant et on a appris. [...] Mais ce n'est pas qu’on arrive en tant que bons pédagogues à l’École, puis on enseigne la bonne chorégraphie. C'est aussi que nous, on investit notre temps, mais l'École investit en nous aussi. On est très reconnaissants de ça, [car] cela nous aide à nous améliorer. Ce sont les étudiant·es qui nous aident à apprendre aussi. On essaie de rester dans le partage, d’être le moteur du partage.

  • Selon votre site Web, vos œuvres « sont souvent marquées d'une physicalité poussée et se préoccupent des questions d'identité et de moralité. » Dans quelle mesure peut-on retrouver cette signature artistique de Parts+Labour_Danse dans cette création pour les étudiants de 2e année?

David : Par rapport à la physicalité, une chose que l'on va retrouver, c'est une certaine drive et dynamique dans notre mouvement et une certaine manière de travailler l’amplitude.

Emily : We like to call it “rough and ready.” We say “amplitude”, but it’s not like grand jetés, fouettés, and all that. It’s more under the hood.

David : Le langage est plein de contrastes. C'est là où on reconnaît que l'interprète, qui est en train de travailler son amplitude, est déjà aussi en train de créer une contraction qui va l’amener vers [le prochain mouvement]. C'est une rythmique qu'on appelle empty organic sequencing. Elle rend la danse déconnectée de soi-même. 

Notre mouvement est moins inspiré par des mouvements signatures ou même des postures – on est plus dans un feeling signature. On sent toujours qu'on est dans le travail de Parts+Labour, ce qui crée un lien direct entre la physicalité du travail physique et les questions morales qui sont là, quelque part. C'est peut-être pas la pièce qui va traiter des questions morales au premier plan, comme nos créations sur lesquelles on passe deux ans, mais on ne peut pas s'en échapper. C'est une affaire que j'aime beaucoup discuter avec des étudiant·es : on ne peut pas s'échapper à des questions morales dans peu importe ce qu'on fait. On est interprètes en danse, puis on présente un spectacle de danse. Les questions morales pour moi, c'est un peu la chose qui nous pousse : « Comment est-ce que je m'exprime, d'une manière ou d'une autre, sans enlever la capacité d'expression à l'autre? » Et ce, je pense qu'on peut le faire partout dans le monde. Si on est en politique, si on est en comptabilité… Comment est-ce que je m’exprime dans ce que j'ai à faire, dans toute l'amplitude de la chose, sans nuire à l'expression de l'autre? 

Lorsqu'on est artiste en danse, je pense que ça se fait très clairement.. On veut voir des gens - qui arrivent à se mettre assez dans le pétrin ensemble, en gang, devant un public - pouvoir faire face aux conséquences ensemble. Je trouve que c’est très excitant de voir ça à travers la danse. On en parle donc avec les étudiant·es et je pense qu’elles font une job formidable à saisir cette chose-là et à la travailler.

Emily : We are also a dichotomy. We don't go together. We are the opposite from each other. You're tall and skinny, and I am short and curvy. It starts from the partnership of just that, you know? The way I see something is almost always the opposite of Dave… How do those things meet? We talk about not unity, but…

David : Multiplicity. Que la vérité se trouve dans la multiplicité et non pas dans l'unité. On n'a pas besoin de se mettre d'accord pour trouver une vérité. La vérité, c'est multiple.

Emily : We’re working on it.

David : Depuis longtemps, on s'est inspiré aussi de la philosophie - c'est de là le phrasé par rapport aux questions morales  : c'est de la philosophie que vient cette idée que la vérité est multiple. Elle n'est pas dans l'unisson de la chose. L'unisson, le concept d'unisson, d'être ensemble, existe avec l'individualité. Et c'est ça qu'on veut encourager, surtout dans un espace pédagogique. Comment est-ce que je garde ma personne, mon individualité dans mon art, tout en maîtrisant des formes et quelque chose qui nous unit?

  • Pourriez-vous décrire la cohorte en quatre mots?

David : Féroces. Smart.

Emily : Yes, they're super smart.

David : Elles sont vraiment allumées. Puis, chaleureuses et généreuses.

L’École de danse de Québec tient à remercier chaleureusement David Albert-Toth et Emily Gualtieri pour le partage de leurs pensées avec le public!

L’EDQ reçoit chaque année plusieurs artistes, chorégraphes et professeur·es invité·es afin d’initier les étudiant·es à divers processus créatifs.

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Robin Pineda Gould

À PROPOS DE PARTS+LABOUR_DANSE

Parts+Labour_Danse est composé de deux chorégraphes montréalais qui se sont fait remarquer ces dernières années.

Emily Gualtieri et David Albert-Toth explorent les ambiguïtés de l'expérience humaine dans des œuvres dynamiques qui captivent et interpellent. Opposant le concret à la fantaisie, la collaboration est le maître mot de leur univers créatif, façonné par les contributions des artistes intimement impliqués dans leur processus de création. Ils produisent leurs œuvres depuis 2011 à travers le Canada, remportant divers prix et nominations au fil des ans. Les méthodes chorégraphiques qu'ils conçoivent impliquent une approche d'appel et de réponse qui a donné naissance au vocabulaire unique de la compagnie, qui place l'interprète entre le script et la spontanéité. Marquées par leur physicalité distincte, leurs œuvres jouent librement avec les codes théâtraux afin de propulser leurs publics vers des expériences inattendues et stimulantes qui explorent nos rêves et nos regrets, de nos réflexions les plus intimes aux limites les plus lointaines de notre expression.

Source : www.pldanse.com/about#pld

VOYEZ DE MENACES ET MIRAGES PRENDRE VIE SUR SCÈNE CE PRINTEMPS

De menaces et mirages, créée par la Cie Parts+Labour_Danse pour la cohorte de 2e année à la Formation supérieure en danse contemporaine, sera présentée sur la scène professionnelle de la salle Multi de Méduse dans le cadre du Spectacle de fin de saison 2024 de L’École de danse de Québec les 9 et 10 mai 2024 à 19h30. Par la suite, le spectacle sera également disponible en ligne sous forme de webdiffusion en différé du 24 mai au 7 juin 2024.

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